Ceci est un coup de gueule pour le manque de coups de gueule.
En tant que conseillers ou administrateurs des modules, nous nous faisons souvent alpaguer aux coins des rues pour de virulentes critiques sur le fonctionnement de l’institution ordinale, les textes de lois et autres directives, la confraternité mise à mal. Souvent à juste raison. Je suis, en ce qui me concerne, très honoré d’être le réceptacle de cette forme de catharsis. Mais quand il s’agit de formaliser tout cela – en deux lignes parfois – pour le faire partager à tous, il n’y a plus personne.
A vos plumes !